Lorsque l’on choisit de
s’engager dans une filière, c’est principalement par réelle vocation (10 % des
candidats selon les recruteurs), inclination personnelle (si vous détestez les
maths, vous n’irez pas vous inscrire en DEUG de sciences) ou après avoir écouté
les parents et les copains.
En posant cette question, le recruteur cherchera donc à cerner vos motivations et les événements extérieurs qui ont guidé vos choix tout au long de vos études. Le problème, c’est que vos réponses peuvent être diversement interprétées. Avoir une vocation, c’est plutôt bien perçu (vous faites preuve de cohérence et de détermination)… mais cette précocité peut cacher un manque de remise en question, surtout si vous marchez sur les pas de votre père ou de votre grand-père. Si vous avez découvert un métier au cours de vos études, vous vous êtes spécialisé ou réorienté après votre diplôme, le recruteur voudra savoir si vous êtes aujourd’hui mature et sûr de votre choix.
La façon dont vous avez choisi une formation est aussi un révélateur de votre personnalité : « aviez-vous pris des renseignements sur la filière avant de l’intégrer ? », « êtes-vous quelqu’un de terrain ou préférez-vous étudier ? ». Le recruteur peut relier à celles concernant les questions sur vos qualités et vos défauts et essayer de définir ainsi votre mode de fonctionnement.
Enfin, les recruteurs apprécient en général les candidats qui défendent les couleurs de leur filière avec passion, car il s’agit souvent de profils qui ont vécu (et non subi !) leurs études.
En posant cette question, le recruteur cherchera donc à cerner vos motivations et les événements extérieurs qui ont guidé vos choix tout au long de vos études. Le problème, c’est que vos réponses peuvent être diversement interprétées. Avoir une vocation, c’est plutôt bien perçu (vous faites preuve de cohérence et de détermination)… mais cette précocité peut cacher un manque de remise en question, surtout si vous marchez sur les pas de votre père ou de votre grand-père. Si vous avez découvert un métier au cours de vos études, vous vous êtes spécialisé ou réorienté après votre diplôme, le recruteur voudra savoir si vous êtes aujourd’hui mature et sûr de votre choix.
La façon dont vous avez choisi une formation est aussi un révélateur de votre personnalité : « aviez-vous pris des renseignements sur la filière avant de l’intégrer ? », « êtes-vous quelqu’un de terrain ou préférez-vous étudier ? ». Le recruteur peut relier à celles concernant les questions sur vos qualités et vos défauts et essayer de définir ainsi votre mode de fonctionnement.
Enfin, les recruteurs apprécient en général les candidats qui défendent les couleurs de leur filière avec passion, car il s’agit souvent de profils qui ont vécu (et non subi !) leurs études.
Les
réponses à éviter :
Banalissime • « Tout(e) petit(e) déjà, je démontais et
réparais le magnétoscope… »
Papamadit • « Mes parents m’ont conseillé de suivre des études de secrétariat, car on aura toujours besoin de secrétaires. »
Rebelle • « Je n’ai surtout pas voulu faire la même chose que mon père. »
Raisonnable • « En préparant un diplôme d’ingénieur, on est assuré de trouver un travail. »
Papamadit • « Mes parents m’ont conseillé de suivre des études de secrétariat, car on aura toujours besoin de secrétaires. »
Rebelle • « Je n’ai surtout pas voulu faire la même chose que mon père. »
Raisonnable • « En préparant un diplôme d’ingénieur, on est assuré de trouver un travail. »
Des réponses possibles
Vous avez
un parcours balisé •
« J’ai toujours préféré les matières scientifiques et après le bac, je me
suis orienté(e) tout naturellement vers une école d’ingénieurs. À l’époque,
j’avais discuté avec plusieurs personnes qui exerçaient cette profession et
j’avais aimé l’aspect technique de la fonction ainsi que la diversité des
missions que peut remplir un ingénieur. De plus, j’avais envie d’exercer un
métier à responsabilités. »
Vous avez suivi vos études par hasard • « J’ai suivi cette filière par intérêt pour les langues et dans l’idée d’être traductrice, mais au cours de ma deuxième année de formation, j’ai découvert avec intérêt les possibilités de débouchés dans le tourisme. »
• « Après le bac, n’ayant pas de projet professionnel défini, je me suis inscrit(e) en fac de droit par hasard, mais très vite je me suis passionné(e) pour le droit des affaires et au terme de différents stages, j’ai eu la confirmation que c’était dans cette voie qu’il fallait que je m’engage. »
Vous avez suivi vos études par hasard • « J’ai suivi cette filière par intérêt pour les langues et dans l’idée d’être traductrice, mais au cours de ma deuxième année de formation, j’ai découvert avec intérêt les possibilités de débouchés dans le tourisme. »
• « Après le bac, n’ayant pas de projet professionnel défini, je me suis inscrit(e) en fac de droit par hasard, mais très vite je me suis passionné(e) pour le droit des affaires et au terme de différents stages, j’ai eu la confirmation que c’était dans cette voie qu’il fallait que je m’engage. »
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