Aujourd’hui, pour les
entreprises, un diplômé de l’enseignement supérieur se doit de parler au
minimum l’anglais et éventuellement une autre langue. Mais ce n’est pas
toujours le cas et c’est justement parce que les recruteurs connaissent les
limites de certaines formations dans le domaine des langues qu’ils n’hésitent
pas à interroger les candidats… en particulier les ingénieurs… certaines écoles
étant encore à la traîne en matière d’ouverture internationale. En tout cas, il
vous est difficile de passer vos éventuelles lacunes sous silence. Attention,
si le poste exige la maîtrise parfaite de l’anglais, inutile de bluffer et
sachez que dans les grands groupes, un bon niveau en langues est toujours
exigé.
« La plupart des candidats se sous-évaluent ou se surestiment, mais rares sont ceux capables de déterminer correctement leur niveau linguistique », souligne Jean-Pierre Corgnet, directeur associé du cabinet Montaigne Chatel et associés. Imaginez-vous confronté à des situations professionnelles courantes : une conversation téléphonique qui doit déboucher sur la prise d’un rendez-vous, une présentation d’un produit ou de l’entreprise à un client, un repas d’affaires en tête-à-tête ou à plusieurs, des instructions à transmettre à des collaborateurs étrangers, la lecture d’un rapport, la rédaction d’une note ou encore la découverte d’un site web en langue étrangère, etc. Vous aurez alors une idée plus précise de ce que vous savez faire ou ne pas faire, sachant que dans la plupart des postes, on vous demandera surtout de pratiquer un anglais oral et non littéraire.
Pour compenser votre niveau médiocre, n’hésitez pas à mettre en avant votre curiosité pour les pays étrangers, pour leur culture, leur système politique, leur géographie. Et il en va de même si vous êtes bilingue ! Simplement le recruteur sera peut-être encore plus exigeant, en essayant de savoir par exemple si vous suivez l’actualité du pays dont vous maîtrisez parfaitement la langue. Dans tous les cas, c’est le moment ou jamais de parler de vos voyages, même s’ils ne sont que touristiques. N’oubliez pas que parler une langue aujourd’hui ne suffit pas, il faut aussi être de culture internationale.
« La plupart des candidats se sous-évaluent ou se surestiment, mais rares sont ceux capables de déterminer correctement leur niveau linguistique », souligne Jean-Pierre Corgnet, directeur associé du cabinet Montaigne Chatel et associés. Imaginez-vous confronté à des situations professionnelles courantes : une conversation téléphonique qui doit déboucher sur la prise d’un rendez-vous, une présentation d’un produit ou de l’entreprise à un client, un repas d’affaires en tête-à-tête ou à plusieurs, des instructions à transmettre à des collaborateurs étrangers, la lecture d’un rapport, la rédaction d’une note ou encore la découverte d’un site web en langue étrangère, etc. Vous aurez alors une idée plus précise de ce que vous savez faire ou ne pas faire, sachant que dans la plupart des postes, on vous demandera surtout de pratiquer un anglais oral et non littéraire.
Pour compenser votre niveau médiocre, n’hésitez pas à mettre en avant votre curiosité pour les pays étrangers, pour leur culture, leur système politique, leur géographie. Et il en va de même si vous êtes bilingue ! Simplement le recruteur sera peut-être encore plus exigeant, en essayant de savoir par exemple si vous suivez l’actualité du pays dont vous maîtrisez parfaitement la langue. Dans tous les cas, c’est le moment ou jamais de parler de vos voyages, même s’ils ne sont que touristiques. N’oubliez pas que parler une langue aujourd’hui ne suffit pas, il faut aussi être de culture internationale.
Les
réponses à éviter :
Déprimé • « C’est pas terrible… » • « Je
suis nul(le). »
Des réponses possibles :
Vous ne maîtrisez pas parfaitement une langue • « J’aime beaucoup les langues étrangères et je me débrouille en anglais mais je dois reconnaître que je ne suis pas parfaitement bilingue. » • « J’ai bien conscience que la maîtrise de l’anglais est aujourd’hui indispensable et j’ai d’ailleurs l’intention de me mettre sérieusement à acquérir le vocabulaire qui me manque. » • « J’avoue que mon niveau n’est pas excellent et j’envisage de reprendre des cours afin de parler couramment l’anglais. » • « Lors d’un récent séjour aux États-Unis, j’ai eu l’occasion de me rendre compte que mon niveau en anglais n’est pas satisfaisant, mais je sens qu’en travaillant un peu, je pourrais très rapidement être capable de suivre une conversation. » • « Je travaille actuellement cette langue car je désire atteindre un niveau bilingue. Tout en travaillant ma grammaire et mon vocabulaire, j’écoute régulièrement la BBC, j’essaie de voir des films en VO et surtout je lis la presse anglo-saxonne. » • « J’arrive à lire sans trop de problèmes un texte en anglais, surtout s’il s’agit d’un article technique, car je connais assez bien le vocabulaire. Mais je dois reconnaître que je n’arrive pas toujours à suivre une conversation. »
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