Là encore, le recruteur pose
cette question uniquement dans l’intérêt du poste à pourvoir. Comme pour la
question concernant votre situation familiale, c’est à nouveau votre
disponibilité qui entre en jeu. Le recruteur a besoin de savoir s’il vous sera
possible d’assister à certaines réunions tardives ou bien de vous déplacer
parfois pour deux ou trois jours. Si ces conditions ne vous dérangent pas,
mettez en avant votre organisation infaillible.
Dans le cas où le poste à pourvoir nécessite une éventuelle expatriation, l’âge des enfants pourra aussi entrer en ligne de compte. En effet, il est plus facile d’emmener avec soi des enfants en bas âge – surtout s’ils ne sont pas encore scolarisés. Et puis, ce qui inquiète surtout le recruteur, c’est de savoir si dans le cas d’un départ à l’étranger, vous seriez le seul (ou la seule) à partir (car le conjoint ne voudra pas abandonner son poste) ou si toute la famille suivra.
Dans le cas où le poste à pourvoir nécessite une éventuelle expatriation, l’âge des enfants pourra aussi entrer en ligne de compte. En effet, il est plus facile d’emmener avec soi des enfants en bas âge – surtout s’ils ne sont pas encore scolarisés. Et puis, ce qui inquiète surtout le recruteur, c’est de savoir si dans le cas d’un départ à l’étranger, vous seriez le seul (ou la seule) à partir (car le conjoint ne voudra pas abandonner son poste) ou si toute la famille suivra.
Les
réponses à éviter :
Méfiant • « Oui, pourquoi me posez-vous cette
question ? »
Laconique • « Oui. »
Laconique • « Oui. »
Des
réponses possibles :
• « Oui, j’ai une petite fille, Marie, âgée de deux ans, actuellement gardée en nourrice pour me permettre de me rendre à mes entretiens. J’ai déjà pris mes dispositions pour adapter ce moyen de garde à mes futurs horaires professionnels. »
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